
Cultura Exclusive/Rebecca Nelson, © Getty
Se lancer dans une pratique musicale à l’âge adulte alors que l’on n’en a jamais fait avant, est-ce possible ? Il n’est jamais trop tard, disent les professeurs de musique et les chercheurs.
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Se lancer dans une pratique musicale à l’âge adulte alors que l’on n’en a jamais fait avant, est-ce possible ? Il n’est jamais trop tard, disent les professeurs de musique et les chercheurs.
© Jupiter
Nous sommes de plus en plus nombreux à chanter, et pas seulement dans l’intimité de notre salle de bains. Phénomène de mode ? Pas seulement. Chanter permet aussi de nous ouvrir à nos émotions et de les exprimer en jouant sur le registre de notre propre partition intérieure.
Une oeuvre puissante, exigeante, originale, prend vie, qui interroge notre époque.
« J’élabore une collection de sculptures abordant sous différents angles la relation entre l’humain et le numérique. Les volumes des sculptures sont dessinés par des lignes et des courbes dynamiques formant des plans qui structurent par leurs inclinaisons les ombres et les lumières.
Mon travail donne à voir l’irruption rapide du numérique dans nos sociétés et dans nos vies et la manière dont les nouvelles technologies façonnent nos corps et nos esprits.
Le défi à relever est de modeler l’impalpable, de représenter un monde numérique, immatériel et évolutif avec une matière solide et inerte.
Dans ma démarche, l’outil technologique, fruit d’années de recherches et d’ingénieries, se libère de sa condition d’objet, pour devenir, comme absorbé, une partie de nous-mêmes. La déformation des corps est comme une invitation à explorer les contours de notre humanité, où se mêlent ce qui est et ce qui sera. Les lignes s’élancent, se tendent et déstabilisent pour former un maillage épuré, symbiose parfaite du réel et du virtuel.
Je cherche à épurer mes sculptures des stigmates culturels pour les revêtir d’une part d’intemporalité ; l’inspiration des représentations antiques ou primitives replace mon travail dans une histoire en perpétuelle évolution. »
Edouard DULLIN
Isabelle Peretz est guitariste. Elle aime tellement la musique qu’elle y a consacré sa carrière de psychologue, à l’Université de Montréal. Le printemps dernier, elle a vulgarisé 30 ans de recherches dans son livre Apprendre la musique – Nouvelles des neurosciences. La Presse s’est entretenue avec Mme Peretz.
Du fameux « effet Mozart » à l’oreille absolue, les effets de la musique sur le cerveau, attestés par les chercheurs, souffrent de nombreux a priori. Qu’en est-il véritablement ? Tour d’horizons avec la neuroscientifique québécoise Isabelle Peretz.
Conte : Il était une fois … Mr et Mme Pinces-à-partition, ainsi que leurs deux enfants, qui ce jour, prirent leurs quartiers sur mon piano. Confortablement installés, ils ne demandent désormais qu’à pincer grosses et petites partitions récalcitrantes ! (Ah mais ! C’est que rien ne leur résiste !) Ils vivront longtemps heureux sur leur pupitre élégant et auront beaucoup de petits pinçons !
Leçon de SVT : De la reproduction des pinces à partitions en milieu pianistique.
Alerte environnementale : Attention, risque de pinces processionnaires, surveillez vos doigts.
Déclaration : « Chère professeure, sachez que nous en pinçons drôlement pour vous ! »
Comptine : Pince-mi et Pince-moi sont sur un piano, Pince-mi tombe de là-haut, qui reste-t’il …???