Loïc Madec, peintre poète des couleurs, jardinier des symboles

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http://www.loicmadec.com

Loïc Madec "Musiques du monde" « Musiques du monde »

Loïc Madec "La Flûte enchantée"« La flûte enchantée »

Loïc Madec "Claire"« Claire »

Loïc Madec "Poussin" « Poussin »

Loïc Madec Projet "Penety"2019Projet « Penety » 2019

… Loïc Madec ouvre ce week-end les portes de son jardin …
« Ce jardin est la composante intégrante de la part théâtrale de mon travail… ».
S’il nous invite à ressentir les éléments bruissants, la légèreté des feuillages, l’architecture des buis, l’ouverture sur la mer, il ne s’agit pas d’en admirer les points de vue ou d’aborder le Rivage des Syrtes où tout ne serait que désert et abandon.
L’artiste l’anime de ses œuvres qu’il nous invite à découvrir comme une nouvelle Carte du Tendre, selon ses propres codes, ses choix personnels et ses interrogations qui l’accompagnent depuis des années.
Le jardin se fait alors lieu d’installation.
De la nature des choses au paradis perdu, quatre thèmes pour déambuler au coeur d’une création délicate, raffinée et riche de sens : 
Au commencement était la nature exaltée à travers le dépassement de soi par le Sport.
La promenade se poursuit au coeur du « Songe de Poliphile ».
Un coin plus intime, le jardin de soie.: collage d’aquarelles sur papier frissonnent au fil du vent, non sans rappeler les trembleuses.
Changement d’ambiance avec la forêt métallique, 32 tiges graciles laissent s’agiter des feuilles artificielles aux composantes précieuses. Un simple sachet de plastique les protège. Symboles d’empreintes, vestiges à préserver. Et toujours ce sens de la mise en scène chez Loïc Madec.
Le dernier thème envisage le » Paradis Perdu ». Ne reste que la machine. « L’homme a disparu, mais il est pris en compte dans son absence… » précise l’artiste. Sept gouaches au fond du jardin, au milieu d’une clairière, derrière un rideau de glycines, il faut franchir le Styx. Après la nature dans toute son exubérance, sa disparition.
L’imagination se met à l’oeuvre qui donne envie de voyage au coeur d’un jardin… »
                                                                    Dominique Cresson (Ouest-France)

Un jeune sculpteur à découvrir : Edouard Dullin

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Une oeuvre puissante, exigeante, originale, prend vie, qui interroge notre époque.

www.sculptured.fr

« J’élabore une collection de sculptures abordant sous différents angles la relation entre l’humain et le numérique. Les volumes des sculptures sont dessinés par des lignes et des courbes dynamiques formant des plans qui structurent par leurs inclinaisons les ombres et les lumières.

Mon travail donne à voir l’irruption rapide du numérique dans nos sociétés et dans nos vies et la manière dont les nouvelles technologies façonnent nos corps et nos esprits.

Le défi à relever est de modeler l’impalpable, de représenter un monde numérique, immatériel et évolutif avec une matière solide et inerte.

Dans ma démarche, l’outil technologique, fruit d’années de recherches et d’ingénieries, se libère de sa condition d’objet, pour devenir, comme absorbé, une partie de nous-mêmes. La déformation des corps est comme une invitation à explorer les contours de notre humanité, où se mêlent ce qui est et ce qui sera. Les lignes s’élancent, se tendent et déstabilisent pour former un maillage épuré, symbiose parfaite du réel et du virtuel.

Je cherche à épurer mes sculptures des stigmates culturels pour les revêtir d’une part d’intemporalité ; l’inspiration des représentations antiques ou primitives replace mon travail dans une histoire en perpétuelle évolution. »

Edouard DULLIN